19 juillet 2007
Encore plus tard.
Ma petite puce, tu grandis, tu racontes, tu galopes. Nous ne nous voyons pas assez souvent alors que quelques kilomètres seulement nous séparent. Tes parents semblent parfois un peu débordés, par leurs emplois, par la vie qui va toujours trop vite. Alors on se dit toujours qu'on pourra se voir plus tard, et les mois, les années passent. Je les vois eux, plus souvent que toi. Tu es souvent malade les derniers temps : toujours ces otites qui te font souffrir. Tu es une petite fille malgré tout joviale et souriante.
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